durée : 5 h 54 min
Quatrième de couverture : « Depuis que le réveil, en guise de tic-tac, dit con-vo-ca-tion, con-vo-ca-tion, con-vo-ca-tion, je n’ai pu m’empêcher de penser au commandant Albu (…). Dès que la fenêtre était devenue grise, j’avais vu au plafond la bouche d’Albu en très grand, le bout de sa langue rose qui pointait derrière sa denture inférieure, et entendu sa voix narquoise : Pourquoi être à bout de nerfs, nous ne faisons que commencer. » Dans le tramway qui la mène au bureau de la Securitate, où elle a de nouveau été convoquée, la narratrice lutte pour ne pas se laisser entraîner par son (...)
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