Quatrième de couverture du livre de poche :
« Je n’ai pas voulu donner dans La Fin de la nuit une suite à Thérèse Desqueyroux, mais le portrait d’une femme à son déclin, que j’avais peinte déjà du temps de sa jeunesse criminelle. Il n’est aucunement nécessaire d’avoir. connu la première Thérèse pour s’intéresser à celle dont je raconte ici le dernier amour. »
François Mauriac.