quatrième de couverture : ( Viviane Hamy)
"Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors ?"
Depuis quatre mois, cette phrase accompagne des cercles bleus qui surgissent la nuit, tracés à la craie
sur les trottoirs de Paris. au centre des cercles, prisonniers, un débris, un déchet, un bjet perdu : trombone,
bougie, pince à épiler, patte de pigeon...
Le phénomène fait les délices des journalistes et de quelques psychiatres qui théorisent : un maniaque, un joueur.
Le commissaire Adamsberg, lui, ne rit pas. Ces cercles et leur contenu hétéroclite sont de mauvaise augure.
Il le sait, il le sent : bientôt, de l’anodin saugrenu on passera au tragique.
Il n’a pas tort. Un matin, c’est le cadavre d’une femme égorgée que l’on retrouve au milieu d’un de ces cercles bleus.-
Fred Vargas
Archéologue, spécialiste du Moyen Age, elle fait partie des figures montantes de la littérature policière.
L’homme aux cercles bleus a obtenu, en 1992, le prix du festival de St Nazaire.-
Petit commentaire personnel
C’est pour moi la découverte d’une écriture. Fred Vargas met de la poésie dans ce roman car il y en a dans la vie, même s’il s’agit de roman policier.